Déclaration d’écoconception

Date de publication : 16/12/2024

Dernière modification : 27/12/2024

Introduction

L’ADEME a entamé une démarche d’amélioration de ses services numériques dans le cadre de son engagement pour un numérique plus responsable. Les systèmes d’Information de l’Agence ont notamment obtenu le label Numérique Responsable niveau 2 en octobre 2021 : https://label-nr.fr/pourquoi/.

Dans ce cadre, ce site Internet a été pensé et développé dans une logique d’écoconception. 

La philosophie

Le numérique responsable décline les 3 axes du développement durable : Écologie/Société/Économie.

Nous nous sommes fixés 3 objectifs pour répondre aux exigences de l’écoconception :

  • Créer un site léger (en termes de code mais également de visuels et de fonctionnalités) avec moins de besoin de stockage et de transfert de données. Le but est d’économiser l’énergie nécessaire pour faire fonctionner le site et d’allonger la durée de vie du matériel.
  • Faciliter l’accès à tous les utilisateurs en respectant les exigences d’accessibilité et de protection des données personnelles.
  • Fournir un site internet utile et pérenne avec une navigation facilitée et non intrusive et surtout un site facile à entretenir.

Comment ?

Afin de répondre à ces objectifs nous avons sélectionné des prestataires orientés vers un Numérique Responsable. Nous avons mis en place de bonnes pratiques d’écoconception selon les recommandations du référentiel général d’écoconception de services numériques publié par la mission Interministérielle du Numérique Responsable.

Nous avons agi aussi bien sur le plan technique qu’éditorial.

Les réflexions menées nous ont permis de garantir un périmètre fonctionnel adapté au juste nécessaire et de ne pas développer de fonctionnalités et des contenus inutiles ou à peu de valeur ajoutée.

Sur le plan technique, nous avons utilisé des briques logicielles standard et des technologies maintenables afin d’assurer un allongement de la durée de vie du site.

Résultats de l’audit RGESN

Un audit RGESN du site mené par la société Temesis sera prévu en janvier 2025 pour établir sa conformité avec la version 1 2024. Les résultats de l’audit seront disponibles sur cette page et permettront d’établir une feuille de route d’améliorations.

Référent en écoconception numérique

Pour la maîtrise d’œuvre (MOE) : Jean-Baptiste AUDRAS – Directeur Technique et Responsable Qualité chez Whodunit.

Actions critère par critère

1.1 Le service numérique a-t-il été évalué favorablement en termes d’utilité en tenant compte de ses impacts environnementaux ?

Le service Marketing Responsable a été évalué favorablement en termes d’utilité.
Depuis 2013, la plateforme « Réussir avec un Marketing Responsable » valorise les bonnes pratiques d’entreprises qui allient offre responsable et création de valeur économique. Elle est ainsi un outil d’accélération de la transformation par le partage d’expérience et l’inspiration.
Ce site internet vient en complément de diverses campagnes de l’ADEME visant à encourager l’usage d’un numérique responsable. La valeur ajoutée de ce service auprès des entreprises et des professionnels du marketing justifie la mobilisation des ressources requises pour sa création. Les fonctionnalités de ce service numérique sont adaptées à ses cibles : il propose une liste filtrable de bonnes pratiques du marketing responsable ainsi que des ressources (actualités, livres blancs, podcasts) pour les mettre en œuvre et ne propose pas davantage de fonctionnalités connexes.

Le service numérique proposé répond par ailleurs aux Objectifs de Développement Durable suivants :

  • ODD 9 : Mettre en place une infrastructure résiliente, promouvoir une industrialisation durable qui profite à tous et encourager l’innovation
  • ODD 12 : Établir des modes de consommation et de production durables
  • ODD 17 : Partenariats pour la réalisation des objectifs

1.2 Le service numérique a-t-il défini ses cibles utilisatrices, les besoins métiers et les attentes réelles des utilisateurs cibles ?

Les cibles utilisatrices du service ont été identifiées au travers d’une démarche d’UX design. En amont de la réalisation, le trafic de l’existant a été analysé (mots clefs recherchés, points d’entrée, pages vues, parcours utilisateurs) et plusieurs personas ont été étudiés afin d’adapter au mieux la nouvelle solution aux attentes du terrain. Ainsi, les cibles utilisatrices du service sont notamment les responsables RSE dans les organisations et les chefs de produits dans les entreprises soucieux de se documenter sur les bonnes pratiques pour un marketing responsable et de découvrir des exemples d’opérations marketing vertueuses. En cohérence, le service numérique répond à leurs besoins puisque présentant les fonctionnalités suivantes : ressources documentaires (actualités, livres blancs, podcasts), système de filtre des bonnes pratiques.

1.3 Le service numérique a-t-il au moins un référent identifié en écoconception numérique ?

Pour la maîtrise d’œuvre (MOE) : Jean-Baptiste AUDRAS – Directeur Technique et Responsable Qualité chez Whodunit.

Pour la Maîtrise d’ouvrage (MOA) : Gildas Falkenstein, Program Manager au sein de la Direction Environnement de Travail et Systèmes d’Information de l’ADEME.

Par ailleurs, l’ADEME s’appuie sur une équipe de consultants extérieurs pour les questions ayant trait à la démarche d’écoconception logicielle (Digital4Better). À noter que la plupart des collaborateurs de l’ADEME sont sensibilisés aux impacts environnementaux du numérique.

1.4 Le service numérique réalise-t-il régulièrement des revues pour s’assurer du respect de sa démarche d’écoconception ?

Les objectifs d’écoconception de ce service ont été définis lors du premier atelier de conception du site. Par la suite une revue de maquettes puis une revue de code ont été organisées lors de chaque sprint donnant lieu à la fourniture de livrables. Par la suite, une revue basée sur les critères d’accessibilité (RGAA) et d’écoconception (RGESN) est planifiée sur toute livraison d’évolutions significatives du site.

1.5 Le service numérique s’est-il fixé des objectifs en matière de réduction ou de limitation de ses propres impacts environnementaux ?

L’empreinte environnementale du site est évaluée à chaque fin de sprint avec l’outil Fruggr de Digital4Better (Objectif 80/100).

Rapport Fruggr au 02/12/2024 : Score global 73

Cette évaluation est complétée par un diagnostic de performances avec l’outil Lighthouse de Google (Objectif 90% pour chaque page).

Au 2 décembre 2024 :

  • Page d’accueil ordinateur : 90 %
  • Page d’accueil mobile : 78 %

Enfin, pour limiter ses propres impacts, le service se donne pour objectif un poids et un nombre de requêtes maximum par page (5 Mo / 50 requêtes).

1.6 Le service numérique collecte-t-il la donnée de façon responsable et raisonnée ?

Un formulaire de contact est présent sur le site. Les seules informations personnelles collectées sont le nom, le prénom et l’adresse e-mail (éventuellement le numéro de téléphone). Ces données sont les données minimales légitimes pour être recontacté et peuvent être supprimées à tout moment par les utilisateurs (paragraphe 13 de la page Protection des données personnelles). Le téléchargement des livres blancs nécessite également la collecte du nom, prénom et email de l’utilisateur (éventuellement le nom de son entreprise) pour recevoir les livres blancs par email mais l’utilisateur n’est pas obligé de s’inscrire à une liste de contact et peut également supprimer ces données.

1.7 Le service numérique a-t-il recours à un niveau de chiffrement adapté à ses besoins ?

Les seules données nécessitant un chiffrement sont les identifiants de connexion des contributeurs. Le chiffrement de ces données répond aux standards en vigueur.

1.8 Le service numérique a-t-il mis en place des efforts d’open source ?

Le service numérique repose essentiellement sur des briques open source. La solution de CMS retenue, et par extension le thème WordPress développé, sont sous licence GPL.

2.1 Le service numérique a-t-il défini la liste des profils de matériels que les utilisateurs vont pouvoir employer pour y accéder ?

Les types de terminaux (pc, smartphone) ont été identifiés lors de la phase d’UX Design et consignés. Les choix opérés en phase de conception sur les tailles d’écran a été réalisé en fonction de la disponibilité majoritaire sur le marché français (26% en 1920 x 1080 px pour Desktop et 11% en 393 x 873 px pour mobile).

2.2 Le service numérique est-il utilisable sur d’anciens modèles de terminaux ?

Tout équipement mobile datant de 2014 (année N-10) ou plus…

2.3 Le service numérique est-il utilisable via une connexion bas débit ou hors connexion ?

Connexion minimum pour un accès et une utilisation confortable du service : 3G en mobile et 512 Ko en connexion fixe.

2.4 Le service numérique est-il utilisable sur d’anciennes versions de système d’exploitation et de navigateurs web ?

Le service s’impose uniquement une compatibilité avec les navigateurs années N à N-3.

2.5 Le service numérique s’adapte-t-il à différents types de terminaux d’affichage ?

Le site répond bien aux exigences du Responsive Web Design et s’affiche aussi bien sur un écran de PC que sur tablette ou mobile. Les tests limites montrent que l’interface ne présente aucune dégradation en réduisant la résolution jusqu’à 267 pixels de large. Le site est entièrement responsive, le minimum de taille d’écran recommandé étant de 320 pixels de large.

2.6 Le service numérique a-t-il été conçu avec une revue de conception et une revue de code comprenant parmi ses objectifs la réduction des impacts environnementaux de chaque fonctionnalité ?

Une revue est organisée à chaque fin de sprint. Les performances de chaque page sont testées avec Lighthouse et Fruggr.

2.7 Le service numérique a-t-il prévu une stratégie de maintenance et de décommissionnement ?

Une prestation de Tierce Maintenance Applicative est en cours. Du point de vue technique, le site s’appuie sur des technologies permettant de gérer simplement la désactivation de composants qui ne seraient plus utilisés et l’archivage de contenus obsolètes.

2.8 Le service numérique impose-t-il à ses fournisseurs de garantir une démarche de réduction de leurs impacts environnementaux ?

Des garanties sont intégrées au sein des marchés et des politiques responsables de l’ADEME.

2.9 Le service numérique a-t-il pris en compte les impacts environnementaux des composants d’interface prêts à l’emploi utilisés ?

Le thème WordPress déployé a été développé sur mesure pour réduire au maximum ses impacts environnementaux. Les différents composants d’interface sont open source et optimisés.

2.10 Le service numérique a-t-il pris en compte les impacts environnementaux des services tiers utilisés lors de leur sélection ?

L’intégration d’un service tiers impactant est à questionner : Google Tag Manager, pour la gestion du suivi de consultations du site en mode exempté CNIL sans dépôt de cookie.

3.1 Le service numérique repose-t-il sur une architecture, des ressources ou des composants conçus pour réduire leurs propres impacts environnementaux ?

D’une manière générale, les dépendances (peu nombreuses) du service numérique sont engagées dans une démarche d’amélioration continue de leurs propres performances, ce qui contribue à alléger les impacts environnementaux directs (surconsommation énergétique) et indirects liés à leur utilisation.

3.2 Le service numérique fonctionne-t-il sur une architecture pouvant adapter la quantité de ressources utilisées à la consommation du service ?

L’architecture du service numérique n’est pas en capacité de faire correspondre la quantité de ressources utilisée et la consommation effective de ces ressources de façon automatique, mais l’hébergeur est en capacité de le faire de façon manuelle après validation.

L’architecture technique de l’hébergeur Datacampus est capable d’émettre un monitoring de fréquentation du service qui permet au jour le jour de faire évoluer la configuration technique du serveur et des ressources allouées en fonction des besoins, après validation par l’équipe de l’ADEME.

3.3 Le service numérique est-il en mesure de supporter l’évolution technique des protocoles ?

L’hébergeur Datacampus est accessible en IPV6 / HTTPS / TSL 1.3.

3.7 Le service numérique optimise-t-il la sollicitation des environnements de développement, de préproduction ou de test en fonction de ses besoins ?

L’équipe chargée de la maintenance à fait le choix de conserver un environnement de pré-production toujours actif pour faciliter les mises à jour en continu.

4.5 : Le service numérique utilise-t-il majoritairement des composants fonctionnels natifs du système d’exploitation, du navigateur ou du langage utilisé ?

L’interface web globalement très sobre s’appuie sur le standard HTML.

Un audit d’accessibilité prévu en décembre 2024 avec la société Access42 complètera l’identification du potentiel usage non conforme de composants HTML.

4.7 Le service numérique opte-t-il pour les choix les plus sobres entre le texte, l’image, l’audio ou la vidéo, selon les besoins utilisateurs ?

Le site propose globalement surtout des contenus textuels, ce qui est cohérent avec la démarche de sobriété exposée aux différentes cibles. Dans la rubrique podcast, les contenus sont embarqués depuis la plateforme Acast. Il pourrait être pertinent de remplacer le lecteur Acast par un simple appel à l’action renvoyant vers la plateforme Acast, mais au prix d’un relatif inconfort de l’internaute qui quitterait alors le contexte du site. De la même manière des vidéos Youtube sont embarquées sur les pages de contenus de la rubrique bonnes pratiques et pourraient être remplacées par un bouton et un renvoi vers la plateforme Youtube mais au prix là aussi d’un relatif inconfort de l’internaute.

4.15 Le service numérique fournit-il à l’utilisateur un moyen de contrôle sur ses usages afin de suivre et de réduire les impacts environnementaux associés ?

Le service ne propose pas spécifiquement de moyen de contrôle sur lui-même, mais l’objet du site est précisément d’accompagner l’usager dans la réduction de ses impacts environnementaux.

5.2 Le service numérique propose-t-il des images dont le niveau de compression est adapté au contenu et au contexte de visualisation ?

Le site comporte surtout des images de petites tailles ou des illustrations au format SVG qui s’adaptent au format d’affichage. Pour les images d’illustrations des actualités ou des podcasts, une conversion automatique au format WebP des images contribuées est en place.

6.1 Le service numérique s’astreint-il à un poids maximum et une limite de requête par écran ?

Le service s’astreint idéalement aux bornes suivantes :

  • Poids des ressources maximum astreint par écran : 5Mo
  • Nombre de requêtes serveurs maximum astreinte par écran : 50 requêtes

La page la plus lourde (accueil) montre un poids maximal de 2,4 Mo pour 62 requêtes.

6.2 Le service numérique utilise-t-il des mécanismes de mise en cache pour la totalité des contenus transférés dont il a le contrôle ?

Plusieurs niveaux de cache sont à l’œuvre :

  • au niveau du CMS : ressources HTML + CSS + JS servies en cache (fichiers statiques)
  • au niveau du serveur web : utilisation d’un cache objet via Redis pour limiter la quantité de requêtes SQL traitées

8.1 Le service numérique utilise-t-il un hébergement ayant une démarche de réduction de son empreinte environnementale ?

Datacampus est une entreprise française spécialisée dans l’hébergement internet respectueux de l’environnement. Basée au futuroscope, Datacampus se consacre à réduire l’impact environnemental des serveurs et des données grâce à des solutions techniques innovantes. En tant qu’entreprise à mission, Datacampus intègre des objectifs de développement durable dans ses statuts et s’efforce de montrer qu’internet et l’environnement ne doivent pas être en opposition.

L’hébergeur Datacampus présente ses démarches sur une page dédiée de son site, et dispose d’un certificat Energie Verte / Green Energy.

Datacampus, en tant qu’hébergeur internet engagé dans la préservation de l’environnement, mesure et suit régulièrement plusieurs indicateurs d’impacts environnementaux liés à son activité. Parmi ces indicateurs figurent : la consommation énergétique des centres de données, exprimée en kilowattheures (kWh), qui permet d’évaluer l’efficacité énergétique de ses installations et de ses équipements ; le taux d’utilisation d’énergies renouvelables pour alimenter ses centres, reflétant sa volonté de recourir à des sources d’énergie durables ; le ratio de refroidissement des centres de données (PUE, Power Usage Effectiveness), qui mesure l’efficacité des systèmes de refroidissement en comparant la consommation totale d’énergie à celle consommée uniquement par les équipements informatiques ; et enfin, le taux de réutilisation, de recyclage ou de valorisation des équipements en fin de vie, qui témoigne de son engagement dans une économie circulaire et la réduction de l’impact environnemental lié à la production de déchets électroniques. Ces indicateurs permettent à Datacampus de suivre et d’améliorer continuellement ses performances environnementales, en accord avec sa politique éco-responsable.

8.2 Le service numérique utilise-t-il un hébergement qui fournit une politique de gestion durable des équipements ?

L’hébergeur Datacampus dispose d’une politique de gestion durable de ses équipements : cette société indique mettre en œuvre des pratiques innovantes et éco-responsables pour optimiser l’utilisation et le recyclage de ses matériels. La stratégie mise en place repose sur plusieurs axes : l’achat d’équipements éco-conçus, la réduction de la consommation d’énergie, le prolongement de la durée de vie des appareils grâce à la maintenance et la réparation, ainsi que le recyclage responsable des équipements en fin de vie. Par ces actions, Datacampus cherche à réduire son empreinte écologique et à promouvoir un modèle durable et respectueux de l’environnement dans le secteur des technologies de l’information.

8.3 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont le PUE (Power Usage Effectiveness) est minimisé ?

Le PUE de l’hébergement (Datacampus) est de 1,004.

8.4 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont son WUE (Water Usage Effectiveness) est minimisé ?

Le WUE de l’hébergement (Datacampus) est inférieur à 2000 litres/an.

8.5 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont l’origine de consommation d’électricité est documentée et majoritairement d’origine renouvelable ?

Datacampus indique la part d’énergie renouvelable de sa consommation : 100 % d’énergie renouvelable hydroélectrique française. Cela démontre leur engagement envers la durabilité et l’utilisation d’énergies propres pour alimenter les infrastructures et services.

Datacampus utilise des technologies de pointe et une énergie 100% renouvelable cf https://datacampus.fr/

Le fournisseur d’électricité est la société Alterna énergie, filiale de SOREGIE, la régie locale d’électricité de Poitiers. Ci-après le certificat d’énergie verte.

Certificat d'énergie verte Datacampus délivré par Alterna Energie en 2023.

8.6 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont la localisation géographique est cohérente avec ses activités et qui minimise son empreinte environnementale ?

Datacampus héberge à 100% en France (région de Poitiers/Futuroscope) sans transferts ou sous-traitance à l’étranger. Si les utilisateurs et les activités du service numérique sont principalement en France, alors la localisation géographique de l’hébergement est en cohérence avec celle de ses utilisateurs et de ses activités.

8.7 Le service numérique utilise-t-il un hébergement qui traite efficacement la chaleur produite par les serveurs ?

DataCampus a adopté une approche innovante en matière de gestion de la chaleur fatale produite par ses serveurs. Grâce à leur système de refroidissement par immersion, Datacampus parvient à réduire significativement la production de chaleur fatale.

Ce système permet de maintenir une température ambiante des serveurs bien supérieure à celle des anciens systèmes climatisés, ce qui réduit considérablement la chaleur fatale générée. Ainsi, plutôt que de se concentrer sur la récupération de la chaleur fatale, Datacampus a choisi de travailler à la réduction de cette chaleur à la source.

En conséquence, Datacampus ne génère pas suffisamment de chaleur fatale pour pouvoir être récupérée. Cette approche innovante permet non seulement de minimiser la consommation d’énergie, mais également de réduire l’impact environnemental de nos infrastructures d’hébergement.

8.10 Le service numérique tient-il compte des contraintes externes pour minimiser l’impact environnemental des calculs et transferts de données asynchrones ?

Le service numérique n’inclut pas de calculs ou transferts de données asynchrones.